L’UPO a publié le 20 avril de premières recommandations de bonnes pratiques afin de sécuriser la prise en charge des patients en ostéopathie (lien).
Le gouvernement a rendu publiques le 28 avril les modalités de gestion de la pandémie du virus SARS-CoV-2 pour les prochaines semaines. Par ailleurs, les connaissances relatives au développement de la maladie COVID-19 ont évolué et permettent de mieux définir les déterminants d’une bonne gestion du risque infectieux en exercice libéral.
Ces nouvelles recommandations, plus fournies, permettent de placer l’ostéopathie en perspective au regard de la pandémie, délivrent des informations synthétiques sur la maladie, ses voies de transmission, ses éléments épidémiologiques, les facteurs de risque de développer une forme sévère de la maladie. Elles précisent les caractéristiques de la communication préalable au rendez-vous afin de permettre au patient de prendre une décision éclairée quant à la nécessité de sa prise en charge au regard du rapport bénéfice-risque. Elles proposent enfin un ensemble de mesures visant à limiter les risques de contamination directe et indirecte au sein du cabinet de l’ostéopathe.
Un graphique de synthèse représente enfin les processus décisionnels qui pourront être mis en œuvre.
Ce document, qui est susceptible d’être pris en référence en cas de réclamation d’un patient, est appelé à évoluer selon la progression des connaissances relatives à l’épidémie de COVID-19.
L’UPO remercie Nicolas Bricot, Philippe Sterlingot, Robin Veteau et Rafael Zegarra-Parodi, qui ont ensemble élaboré ce document.
Les recommandations de l’UPO du 4 mai en version pdf : Recommandations UPO Covid-19